Un programme de courts métrages célébrant la diversité du cinéma belge, réalisé en collaboration avec la revue de cinéma en ligne Sabzian.
Une fois par an, les anciens habitants de Ma’loul peuvent repartir dans leur village sous occupation Israélienne. Pendant le pique-nique traditionnel, Khleifi documente la manière dont l’histoire de cet endroit se perpétue dans la mémoire des anciennes générations et dans l'imagination de leurs enfants.
Laure Portier, cinéaste, suit son petit frère Arnaud dans une quête de liberté et d'identité sur près de dix ans. Après une enfance turbulente, Arnaud doit faire face à un destin tracé d'avance. Un portrait intime et émouvant d'un esprit en lutte, explorant les liens familiaux et le pouvoir émancipateur du cinéma.
Dans les rues étriquées des Marolles, grouillent des gosses. Leur coin de paradis et d’illusions est un terrain vague où un beau jour arrivent des hommes en chapeau mou et d’autres en salopettes qui déploient des papiers… Doucement, la stupeur des gosses se transforme en révolte. Un film sur Bruxelles aux années cinquante, fait avec des gens de la rue.
Un portrait poétique de Giorgi Shakhsuvarian, entraîneur de boxe arménien originaire de Tbilissi. Vivant et travaillant en Belgique, il prépare un jeune boxeur à devenir champion d’Europe. Le film entremêle la sensation de distance, l’expérience d’un flottement dans le temps et l’espace, et la dimension chorégraphique de la boxe.
Sur la mélodie de la Passion selon saint Jean de Bach, le spectateur est plongé dans l'une des pages les plus sombres de l'histoire de la décolonisation du Congo belge : l'assassinat de Patrice Lumumba. Cet essai de film documentaire explore la fine ligne qui sépare l'historiographie de la légitimation.
Decorte est surtout connu comme créateur de théâtre, même s'il a travaillé dans le cinéma pendant quelques années au début de sa carrière. Il a ainsi joué dans deux films de Akerman, mais surtout, en l'espace de quelques années seulement, il réalise trois films que l’on peut considérer comme des jalons du cinéma belge.
Quatre films de danse et trois documentaires sur Rosas, la compagnie de danse d'Anne Teresa De Keersmaeker.