
Lors de la 5ème Biennale de la Havane, Francis Alÿs arpente chaque jour les rues, chaussé de souliers magnétiques sur lesquels viennent s’aimanter les détritus métalliques qui jonchent le bitume.

Francis Alÿs arpente chaque jour les rues de La Havane chaussé de souliers magnétiques sur lesquels viennent s’aimanter les détritus métalliques qui jonchent le bitume. Par le biais de ses dérives quotidiennes, Alÿs à la fois accumule et fait circuler les rebus de la ville, témoins des lieux parcourus.